La versione italiana è in fondo alla pagina.
"L'homme avait abandonné depuis quelque deux cents ans les cités grouillantes et les tanières familières. Il s'était délivré des vieilles inimitiés et des terreurs ancestrales qui le retenaient autour du feu de camp de la tribu, il avait laissé derrière lui les farfadets qui le suivaient depuis l'âge des cavernes.
Et pourtant... Et pourtant...
Ce bureau n'était qu'une autre tanière. Sinon pour le corps, du moins pour l'âme. C'était sur le plan moral comme un feu de camp qui retenait l'homme dans son cercle de lumière."
Clifford D. Simak, Demain les chiens (1952) (2e nouvelle : La Tanière)
E la versione in italiano :
La citazione tratta dal libro Anni senza fine di Clifford D. Simak (1952).
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