Difficile de penser à autre chose, de dessiner autre chose...
Le jour même, comme tout le monde sous le coup de l'émotion, j'ai comme tout le monde dessiné un crayon cassé avec des balles et du sang. Réaction à chaud, pas originale pour deux ronds.
Le soir même, j'ai essayé de faire une petite BD avec plus de recul, un peu de réflexion (inutile, bien sûr, on ne se refait pas !)
Et puis, en repensant à ce qu'était - est - Charlie-Hebdo, j'ai envie de déconner un peu, parce que c'était - c'est - précisément ça la force de ce journal : réussir, même à chaud, même sous le coup de l'émotion, même choqué, même sur le moment, à déconner, à détourner, à brocarder. Parce que l'humour est la politesse du désespoir.
J'avais encore pas mal d'autres idées, on verra si je les fais par la suite...
La dernière risque d'arriver.
RépondreSupprimerTu sais que je t'aime ?
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup. Les quatre. Merci !
RépondreSupprimerFaut que tu postules...
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